Lundi 11 juillet 2011
Lundi 11 juillet 201117°C
27°C
Les orages d'hier étaient finalement assez éloignés.
Chez nous ça s'est limité à quelques zébrures dans le ciel, en soirée, c'est tout.
Mais il a fait lourd toute la journée et le moindre mouvement nous faisait ruisseler...
J'ai donc opté pour la relax attitude !
La blague du jour
bèèèèè
Deux blondes sont en train d'essayer des vêtements :
- Au fait, tu savais qu'il fallait trois moutons pour faire un pull en laine ?
- Nooooon ? Je ne savais même pas qu'ils savaient tricoter !
Le meurtrier de sa fille libéré, une mère avertit les riverains.
L'homme est en libération conditionnelle contre l'avis du parquet comme le rapporte TF1 News.
Dans la nuit du 17 au 18 avril 2003, un homme a tué sa compagne âgée de 21 ans de 27 coups de couteau à Lille
(Nord).
En 2006, la cour d'assises du Nord l'a condamné à 15 ans de réclusion criminelle.
Le 5 juillet 2011, contre l'avis du parquet, le juge d'application des
peines a accordé la libération conditionnelle à l'homme qui a purgé 8 ans de prison.
Il a l'interdiction de rencontrer la mère de la victime et de se rendre dans les quartiers où elle habite et
travaille.
Le problème, c'est qu'il est revenu habiter près de la mère de la victime. En réaction, celle-ci a placardé dans une
quartier de Lille environ 200 affichettes avertissant les riverains du retour du meurtrier de sa fille.
Elle a déclaré : "Il n'y a même pas eu de mesure d'éloignement, on peut se rencontrer à tout moment", a-t-elle
dénoncé. "Je veux que les gens soient au courant qu'ils vivent à côté d'un assassin".
Une campagne qui promet de ne pas être de tout repos !
Martine Aubry face à la rumeur.
Entre deux coups de théâtre dans les démêlés judiciaires de l'ancien patron du FMI, Dominique Strauss-Kahn, ce sont toutes sortes de rumeurs sur la vie privée de la maire de Lille et candidate à la primaire socialiste pour l'élection présidentielle, Martine Aubry, qui sont, ces derniers jours, relayées par les médias et par internet.
On la dit "alcoolique", "mariée à un avocat islamiste", "homosexuelle", "atteinte d'une tumeur au cerveau "…
Des attaques personnelles face auxquelles Martine Aubry a réagi vendredi à Turin en affirmant ne pas être impressionnée par de telles rumeurs.
"Je sais tout, je sais qui les lance" a-t-elle assuré à des journalistes en prévenant qu'elle porterait plainte si les sites concernés ne retiraient pas ces allégations.
La candidate socialiste attribue ces attaques à la droite
Sans jamais citer les noms des auteurs de ces rumeurs, Martine Aubry a clairement désigné la droite et l'extrême droite, avant de menacer : "Comme j'ai des témoignages, je peux porter plainte contre ceux qui ont diffusé les rumeurs."
Martine Aubry a également visé le chef de l'État en faisant allusion à un écho paru dans l'Express début 2010, relatant des propos qu'aurait tenus Nicolas Sarkozy : "Vous connaissez bien Carla et Nicolas, vous ne connaissez pas Martin et Martine". Or, a-t-elle expliqué, "Martin et Martine, c'est une légende dans le Nord, Martin et Martine sont des géants d'Arras, et Martin est un musulman qui s'appelle Hakim et qui doit se marier avec Martine."
Martine Aubry aurait directement décroché son téléphone selon le Journal du Dimanche, "pour prévenir en personne certains de ceux qu’elle soupçonne de calomnier son époux ou de répandre des rumeurs". Parmi eux, un ancien ministre et un préfet "haut responsable de l’Élysée".
En cessation de paiement ?
Le président américain estime qu'il "faut" que le Congrès trouve un accord sur la dette dans les 10 jours.
Sinon, les États-Unis pourraient faire défaut le 2 août. Ce lundi, les discussions s'annoncent encore houleuses.
Pour Barack Obama, c'est une course contre la montre qui s'engage pour parvenir à plafonner l'endettement des Etats-Unis. Le président américain a affirmé qu'il était nécessaire de parvenir dans les dix jours à un accord avec le Congrès sur la dette, faute de quoi l'Etat fédéral ne pourra plus emprunter pour financer son déficit.
Le département du Trésor a prévenu que ses capacités d'emprunt seraient épuisées à la date du 2 août, et les Etats-Unis risquent de se trouver dans une situation de défaut technique sur leur dette. Le plafond actuel est fixé à 14 300 milliards de dollars et les républicains rechignent à le relever sans, en contrepartie, d'importantes réductions des dépenses publiques. Or, l'endettement des Etats-Unis a atteint la somme record de 14 294 milliards de dollars et continue de gonfler au rythme du déficit budgétaire, qui doit s'afficher cette année à 1 600 milliards.
Des responsables du Trésor et des économistes ont exliqué qu'à défaut d'un accord avant le 2 août, les Etats-Unis risqueraient de connaître une nouvelle récession. L'exécutif a toutefois prévenu qu'un accord serait nécessaire avant le 22 juillet pour permettre à la procédure législative de parvenir à son terme.
"Quand les États-Unis éternuent, le reste du monde s'enrhume"....
Intox UMP en 2007 : + 25% sur les petites retraites....
Ségolène Royal l’a rappelé sur France Inter ce matin, Sarkozy a menti aux vieux en 2007.
Il a promis +25% d’augmentation des petites retraites. Chose qui n’a pas été faite. Certains fouillent dans les poubelles pour manger.
Ça été l’objet d’une battle verbale entre Ségolène et Patrick Cohen, qui a dit qu’il allait vérifier.
On va voir que Ségolène Royal à presque raison et que lui a tort
SR : Sarkozy a promis une augmentation de 25% des retraites.
Patrick Cohen : non c’est le minimum vieillesse
En fait la chose précise est là :
Il y a 3 millions de petites retraites, c’est-à-dire 3 millions de personnes qui sont en dessous du minimum vieillesse. J’augmenterai de 25 % les petites retraites.
Par Nicolas Sarkozy lors du débat de 2007, le 2 mai 2007 sur TF1. Tout ça parmi d’autres intox du même accabit par le même menteur. Tout ça pour promettre des choses à des groupes d’électeurs ciblés et capter leur vote.
Nicolas Sarkozy:” La question des retraites est essentielle.
Il faut la garantir. Les lois François Fillon ont permis de rééquilibrer l’égalité entre salariés du public et salariés du privé, qui cotisent quarante ans.
Jusqu’en 2020, on n’a pas de souci majeur à avoir quant au financement de nos retraites.
La preuve en vidéo :
N'oubliez pas de signer la pétition en ligne, ci-dessous :