Mercredi 7 Septembre 2011
Mercredi 7 Septembre 201115°C
23°C
Quelques nuages pour perturber notre ciel. Espérons que les rayons du soleil réussiront à les transpercer...
La blague du jour
L'ingénieur
Un groupe de trois directeurs a pour tâche de mesurer la hauteur d'un mât.
Ils sortent dehors et se rendent au mât avec les échelles et les rubans à mesurer.
Tour à tour, ils tombent de l'échelle ou laissent tomber le ruban à mesurer.
Un ingénieur passe par là et voit ce qu'ils essaient de faire. D'un geste moqueur il tire le mât hors de la
terre, le met à plat, le mesure de bout à bout et enfin donne la mesure à un des directeurs, puis il s'en va.
Après que l'ingénieur soit parti, le directeur se tourne vers les deux autres et dit en riant :
- Ça c'est bien un ingénieur. Nous cherchons la hauteur et il nous donne la longueur.
Sans blague....
Belgique : une "grève du slip" contre la castration des porcelets.
"Laissez-les pendouiller" : l'association belge de défense du bien-être animal Gaïa a choisi ce slogan pour demander aux hommes de ne pas porter de caleçon vendredi, en "solidarité" avec les cinq millions de porcelets castrés sans anesthésie chaque année en Belgique.
"A travers l'action "Laissez-les pendouiller", nous cherchons à convaincre les éleveurs de laisser pendouiller celles de leurs porcelets. Nous comptons sur une large participation des hommes, de sorte que les supermarchés cessent de vendre de la viande de porcs castrés", explique dans un communiqué un responsable de la campagne, Michel Vandenbosch.
Les porcelets mâles -les verrats- sont soumis à une ablation sans anesthésie des testicules quelques jours après la naissance dans le but de prévenir l'apparition, dans les faits assez rare, d'une odeur désagréable lors de la cuisson de la viande, souligne Gaïa.
L'association dénonce une "intervention qui leur cause une souffrance aiguë" et prône à la place le recours à "la méthode indolore de la vaccination".
Conseils de Gaïa :
Afin "d'éviter tout accident" vendredi, Gaïa prodigue quelques conseils aux hommes : "évitez les pantalons avec fermeture éclair, prenez garde avant de vous asseoir, évitez également les pantalons à taille (trop) basse". Mais elle rassure : pas la peine de porter de pantalons transparents: "On vous croira sur parole".
Mardi, plus de 3.000 hommes assuraient sur la page Facebook de Gaïa qu'ils prendraient part à l'action.
La dernière Bigoudène en coiffe de dentelle fête ses 100 ans.
La coiffe bigoudène n'est pas un accessoire folklorique, c'est un rituel quotidien pour Maria Lambour, une Bretonne qui a fêté ses 100 ans vendredi à Pont-L'Abbé, dans le Finistère sud.
Aujourd'hui, la vielle dame est la dernière de toute la Bretagne à porter tous les jours la coiffe traditionnelle en dentelle amidonnée.
"Je commence par ça tous les jours. Je le fais moi-même, je n'ai pas besoin d'aide", explique cette ancienne patronne de bar à la retraite devenue célèbre quand elle a tourné dans une publicité pour des céréales il y a plus de vingt ans - avec sa coiffe.
Pour se préparer il lui faut "une demi-heure": elle peigne ses cheveux encore bruns, place un bonnet sur sa tête pour les maintenir avant d'épingler la coiffe de 32 cm et de nouer les lacets sous le menton.
Vive et autonome, la Bigoudène de petite taille a vu la coiffe grandir au fil des ans pour concurrencer les autres coiffes de Bretagne sud. Elle explique qu'elle aurait perdu les clients de son café si elle avait décidé d'abandonner cet accessoire de mode typiquement breton.
"Surtout, ne faites pas ça, plus personne ne viendra", avait averti un client de son établissement, se rappelle celle qui n'a jamais cédé à la modernité. Elle a conservé le port de cette coiffe "incompatible avec les grands vents et la pluie" mais qui ne l'a "jamais dérangée" dans ses tâches quotidiennes.
Vendredi, elle a reçu un long défilé de voisins et un bouquet de 100 roses d'un ami agriculteur qui fleurit chacun de ses anniversaires depuis vingt ans. Dimanche, six de ses amies la rejoindront en coiffe pour fêter dignement son anniversaire.
Chères pizzas !
La facture des pizzas de la fédération PS de l’Hérault était-elle trop salée ?
Dans cette affaire sont en cause des dépenses de déplacements importantes, comme des billets d'avions, pour un montant de 90 000 euros dont auraient bénéficiés l'élu et sa famille et que la fédération aurait payée à tort, toujours selon Midi Libre.
L'expert a retrouvé également des factures d'une pizzeria du quartier des Aubes, à Montpellier, qui représentent "47 % du poste 'réceptions' en 2010". Le comptable a mis aussi la main sur des factures de pizza , imputées à la fédération, qui s'élèveraient au minimum à un montant total de 19 710 euros en 2008, et qui représentent encore plus de 1800 euros de pizzas par mois.
Rentrée des classes : couac !
Izeste : l’institutrice se retrouve toute seule, sans élèves, le jour de la rentrée !
Izeste, dans les Pyrénées-Atlantiques.
Marjorie est une nouvelle institutrice. Hier, elle a trouvé l'école déserte ! Elle était auparavant à Bizanos et a été mutée le 1er juillet. On lui avait
expliqué quelle était la situation et elle s'attendait donc à ne trouver que peu d'élèves ou pas du tout, précise Sud Ouest.
Il y a bien pourtant une vingtaine d'élèves dans le village, mais hier, ils ont fait leur rentrée à Arudy ! Le
Maire qui est un retraité de l'enseignement regrettait donc qu'il y ait eu cette « dispersion irréfléchie », toujours selon ce journal.
En juin, l'école du village avait perdu une de ses deux classes parce qu'il manquait 4 élèves. Le Conseiller
municipal qui était là et qui a appris à lire, à écrire et à compter dans cette école est un peu triste de la voir vide...
L'Inspecteur du secteur a bien confirmé au maire et à la jeune institutrice que la décision de fermer l'école va être
prise ce jeudi en comité paritaire. En attendant sa nouvelle affectation, l'institutrice sera donc placée en renfort à l'école d'Arudy.
Il y a bien eu une tentative de regroupement de trois communes, mais les parents d'Izeste, ne voulant pas que les
élèves aillent à l'école d'un autre village, la tentative a avorté...
Bref, "la fuite accélérée » vers le bourg d'à côté pose bien des questions, même si c'est une question de
proximité. Un syndicaliste a notamment déclaré "qu'il déplorait à tous les niveaux le manque d'ardeur à défendre un service public de proximité ".
L'école d'Arudy compte maintenant 160 élèves, elle est en sureffectif, mais l'Inspecteur a laissé entendre qu'on
ouvrira une nouvelle classe.
N'oubliez pas de signer la pétition en ligne, ci-dessous :