Vendredi 11 Janvier 2013. BONNE FIN DE SEMAINE !
Vendredi 11 Janvier 2013 2°C
5°C
Quelques flocons de neige mélés à la pluie pour aujourd'hui.
Déjà hier, lorsque j'ai pris ma voiture pour aller faire les courses, il y avait de la neige sur mon pare-brise.
Finie la clémence des températures...
J'ai terminé hier soir (tard) les mitaines pour Virginie. J'ai réalisé une des roses qu'elle convoitait. Il me reste à faire l'autre coudre les mitaines.
J'ai finalement renoncé à les faire en "rond" avec 4 aiguilles à chaussettes : trop galère... ça n'avançait pas assez vite.
Photos à venir fin de matinée.
(13h15) Les voilà enfin :
La blague du jour
La punition
C’est une conversation entre une maîtresse d’école et son élève :
L’enfant :
- Madame, madame, est-ce que je peux être puni pour quelque chose que je n’ai pas fait ?
La maîtresse :
- Mais bien sur que non, on ne va pas te punir pour quelque chose que tu n’as pas fait !!!
L’enfant :
- Eh bien, ça va alors… je n’ai pas fait mes devoirs hier !
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Le professeur est en retard, et les élèves de cinquième font un chahut
épouvantable.
Alerté, le surveillant général rapplique et trouve la classe
sens dessus dessous.
- Qu'est-ce que ce chantier ? Qui a fait ça ? Je veux que les coupables aient le courage de se dénoncer, sinon vous serez tous punis !
Un élève lève la main.
- C'est moi qui ai lancé de l'encre sur les murs...
Un autre lève le doigt à son tour.
- C'est moi qui ai jeté la craie dans le couloir...
Puis un troisième.
- C'est moi qui ai jeté du bois par la fenêtre...
A ce moment-là la porte s'ouvre et un gamin entre, couvert de poussière, les vêtements déchirés, les genoux en sang.
- D'où sort-il celui-là ? s'écrie le surveillant général. Donnez-moi votre nom !
- Dubois...
Dette de cantine. Léa 5 ans, emmenée par une policière.
Il va falloir prévoir des menottes adaptées aux menottes des enfants !
L'histoire promet de laisser des séquelles. Chez tous les enfants de maternelle qui ont assisté à la scène, mais surtout chez Léa, petite fille de 5 ans sortie du réfectoire de Saint-Vincent d'Ustaritz manu militari, mardi, par une policière municipale qui l'a conduite au poste de police au motif que sa cantine était impayée !
Elle, a crû que ses parents étaient morts et "quand Léa est revenue en classe dans l'après-midi, tous ses camarades pensaient qu'elle était en prison" a témoigné le directeur de l'école, Laurent Aguergaray.
C'est un procédé irresponsable, les enfants ont été traumatisés, on ne prend pas les enfants en otage de cette manière a-t-il insisté.
Dans cette école où l'on apprend le basque depuis le plus jeune âge et où l'éducation est tournée vers les cimes des Pyrénées, les mœurs ne sont certainement pas de cet acabit. Cantine payée ou pas.
Le maire d'Ustaritz qui gère la cantine scolaire a indiqué que la mère avait été avertie mardi qu'elle devait venir chercher sa fille qui ne pouvait pas déjeuner à la cantine mais elle n'est finalement pas venue.
Dominique Lesbats a assuré que les services de la mairie étaient engagés depuis plus d'un an dans une procédure avec les parents de Léa qui sont, selon lui, dans une mésentente terrible.
Il ajoute que ces derniers, malgré quatre convocations en 2012 ne se sont jamais présentés.
Laurent, le père de Léa, admet cette situation d'impayés. La maman de la fillette, dont il est séparé se trouve dans une situation précaire. Et, explique-t-il, ne payait plus la cantine de sa fille depuis un an et demi.
Le montant de la facture ? Environ 290 euros, selon le papa. Moins les 120 euros dont il s'était acquitté en juin dernier, ne restaient plus que 170 € à débourser. Cela justifiait-il une intervention aussi brutale auprès d'une enfant si petite ?
Ne recevant pas les factures chez moi, je pensais que c'était réglé, explique son père. Et de souligner le montant d'une dette plus que risible par rapport à tous les dommages collatéraux pour Léa !
Léa, très secouée selon son père, mettra sans doute beaucoup plus de temps à se remettre de cette histoire de grands.
Scandaleux, ignoble ! Honte à ce Maire !
Maire de droite, école privée "St Vincent"... et dire qu'ils vont oser manifester dimanche pour défendre les enfants contre les homos !
Sur le site de cette école on peut lire :
Feux en Australie : les photos d'une famille miraculée.
En Australie, où les feux de brousse dévastent le pays, une famille doit sa survie à un ponton. Récit illustré par les photos du grand-père sauveteur.
De gauche à droite, Caleb (6 ans), Esther (4 ans), Matilda (11 ans) portant Charlotte (2 ans), et Liam (9
ans).
Les incendies en Tasmanie ont éclaté le 4 janvier, en pleine canicule, ce qui n'a fait qu'exciter les flammes. L'un des endroits les plus touchés a été Dunalley, village situé sur un isthme entre deux baies, à 55 km à l'est de la capitale de l'Etat, Hobart.
Dans cette seule localité, la police a estimé à 30% la proportion de bâtiments détruits.
Tim Holmes se trouvait justement à Dunalley, accompagné de son épouse et des cinq enfants que leur avait confié leur fille. Se retrouvant pris au piège avec les siens, une seule échappatoire s'offre alors au grand-père : conduire toute la maisonnée là où le feu, par essence, ne prend pas. Dans l'eau.
Ou plus exactement sous un long ponton, tout proche.
Photo prise par Tim Holmes, le 4 janvier 2013, à Dunalley. (Tim Holmes/AP/SIPA).
"Nous avons vu des tornades de feu se diriger vers nous", a raconté Tim Holmes à la chaîne nationale australienne ABC.
"Il y avait seulement environ 2 à 3 centimètres d'air au-dessus de l'eau", a-t-il ajouté, expliquant comment ils s'étaient tous plongés dans l'eau jusqu'au cou, respirant à la surface dans une "atmosphère incroyablement toxique".
Photo prise par Tim Holmes, le 4 janvier 2013, à Dunalley. (Tim Holmes/AP/SIPA).
Quant à Bonnie Walker, la mère des enfants et fille des grands-parents, on imagine aisément son soulagement de les avoir tous retrouvés sains et saufs. Elle s'était absentée pour se rendre à un enterrement cet après-midi-là.
Photo prise par Tim Holmes, le 4 janvier 2013, à Dunalley. (Tim Holmes/AP/SIPA).
Bonnie Walker dit avoir appris à distance dans quelle situation hautement périlleuse se trouvaient ses cinq enfants et ses parents. Elle a même reçu une photo d'eux sous le ponton, ce qui a accentué son angoisse, trois des cinq petits ne savant pas nager.
"C'est encore bouleversant pour moi de voir cette image", a-t-elle confié à ABC, ajoutant avoir prié comme jamais elle ne l'avait fait auparavant. Selon elle, "ces prières ont été entendues".
Le papa, David Walker, parti pour une randonnée de plusieurs jours, à distance, était injoignable au moment des faits. On l'a fait revenir d'urgence en hélicoptère.
C'est un homme heureux : sa maison est en cendres, mais toute sa famille est saine et sauve.
L'affaire Cassez réexaminée le 23 janvier.
Nouvel espoir pour Florence Cassez. Le recours de la Française, condamnée à 60 ans de prison au Mexique pour enlèvements, va être examiné le 23 janvier par la Cour suprême du pays.
Les cinq membres de la première chambre de cette instance juridictionnelle, la plus haute du Mexique, se pencheront sur son cas en s'appuyant sur un rapport présenté par la juge Olga Sanchez, et déjà été distribuée à ses collègues, mais qui ne devrait pas être rendu public avant la séance du 23 janvier, a précisé le service de presse.
Dans cette affaire on nous a appris à être prudents aussi je me garderai de vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué.
Mais je croise les doigts !
Je vous souhaite une belle journée !
Florence
2591 jours