Vendredi 11 Mai 2012. PASSATION DES POUVOIRS.

Publié le par Marishka

Vendredi 11 Mai 2012Tullins - 38210 - Sa 12 : Ensoleillé17°C

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Une journée où il a fait très chaud.

Voila qui nous a surpris, nous n'y étions plus habitués... Idem pour aujourd'hui, mais déjà Météo-France annonce des orages pour demain... 

 

 

 

 

 

 

     La blague du jour

       Le tableautableau

A une exposition de peintures, un cadre est totalement vide.

L'auteur est à côté.

Un visiteur lui demande :
- Qu'est ce que cela représente ?
- Des vaches dans un pré.
- Mais, je ne comprends pas, on ne voit pas de pré.
- Bien sûr, les vaches ont mangé toute l'herbe.
- Et les vaches ? On ne les voit pas non plus ?
- Vous ne croyez tout de même pas qu'elles vont rester dans un pré où il n'y a plus d'herbe ?

 

 



 

 

 

 

 

Police, les raisons de la colère.

"La mise en examen de notre collègue" est "l'élément déclencheur.

 

 

 

N’hésitant plus à se mobiliser en dehors des organisations syndicales, les policiers dénoncent tour à tour la politique du chiffre, l’insécurité croissante, mais aussi l’attitude des magistrats en matière de lutte contre la délinquance. Retour sur les causes de ce mal-être croissant.

 

 Un déficit d’image.

  

Les mal-aimés, c’est ainsi que se voient les policiers. "On note une agressivité croissante de la population à notre égard,  assure Frédéric Jung, policier dans le Val-d’Oise. Ceux qu’on verbalise osent désormais nous dire qu’on ferait mieux de s’en prendre aux "vrais” délinquants" !

Ils nous reprochent de ne plus être assez sur le terrain quand ils auraient vraiment besoin de nous. On manque d’effectifs, on n’y peut rien.   

Le malaise s’est encore accru avec la réforme de la garde à vue, permettant aux avocats d’assister leur client lors des interrogatoires. 

"Les équipes sur le terrain l’ont vécu comme un geste de défiance supplémentaire",  assure Patrice Ribeiro, secrétaire général de Synergie officier.

Se sentant injustement pointés du doigt, les policiers sont désormais de plus en plus nombreux à aller jusqu’à cacher leur appartenance à la police.

"À mon intégration en 1989, j’étais le plus fier des hommes,  lance Loïc, gardien de la paix à Nancy (Meurthe-et-Moselle). Maintenant, on passe tellement mal dans la population que je préfère rester flou sur mon activité, ou alors je dis que travaille à la mairie."

 

La politique du chiffre.  

 

Initiée en 2003, sous l’impulsion de Nicolas Sarkozy – alors "premier flic" de France –, cette méthode de management consiste à fixer aux policiers des objectifs annuels chiffrés précis.

Cette culture du résultat a débouché, ces dernières années, sur une envolée du nombre de gardes à vue. Après moult controverses, la hiérarchie policière a officiellement renoncé à la politique du chiffre, mais officieusement rien n’a changé. 

"Si vous êtes en deçà de votre "ratio-activité", comme on dit, cela repousse d’autant votre avancement",  assure un gardien de la paix de Dreux (Eure-et-Loir).

Résultat : les policiers privilégient les "interpellations rentables"  et préfèrent, par exemple, s’attaquer aux consommateurs de stupéfiants plutôt qu’aux réseaux. 

 

Même constat en matière de sécurité routière.

 

"Pour récolter un maximum d’amendes, on poste les radars à 20 mètres des entrées de centre-ville – où les voitures roulent rarement à 50 km/h – plutôt qu’aux carrefours propices aux accidents",  déplore Michel Nowacki, motocycliste à la CRS de Sainte-Foy-lès-Lyon (Rhône).

 

Casse de la police nationale", "mépris à l'encontre des policiers", "stress permanent", "conditions de travail dégradées", "politique du chiffre" : à Paris, place du Châtelet, devant plusieurs centaines de policiers (quatre cents selon des journalistes, huit cents selon le syndicat), le secrétaire général d'Unité police SGP - première organisation chez les gardiens de la paix -, Nicolas Comte, n'a pas mâché ses mots à l'encontre du gouvernement sortant.

"Oui les policiers sont à bout (...), sont indignés", "il ne s'agit pas d'un mouvement d'humeur", a-t-il dit. "La mise en examen de notre collègue" est "l'élément déclencheur d'une crise plus grave".

 

 

 

Manifestation de policiers, jeudi 10 mai, sur la place du Châtelet à Paris. Manifestation de policiers, jeudi 10 mai, sur la place du Châtelet à Paris. | Reuters/GONZALO FUENTES

 

 

 

 

 

15 Mai : passation des pouvoirs.

 

 

 

Passation de pouvoir, nouveau gouvernement, rendez-vous internationaux : le calendrier se précise.

La première semaine du président François Hollande s'annonce chargée. Dès mardi prochain, le nouveau chef de l'État va enchaîner plusieurs échéances majeures.

 

 

Triple rendez-vous mardi.

 

 

La passation des pouvoirs entre Nicolas Sarkozy et François Hollande à l'Elysée, suivie de l'investiture du nouveau chef de l'Etat, se déroulera à 10 heures mardi, a-t-on appris jeudi auprès de l'entourage du président élu.

 

Aussitôt la cérémonie d'investiture – qui sera "sobre" et "symbolique" à en croire le PS – achevée, François Hollande a prévu de nommer son Premier ministre puis de s'envoler pour Berlin, afin d'y rencontrer Angela Merkel. Seul. "Ce sera un rendez-vous entre la chancelière et moi-même", a-t-il prévenu vendredi.

 

Il devrait s'entretenir avec la chancelière allemande, en fin d'après-midi puis au cours d'un dîner de travail, de sa volonté de renégocier le traité de discipline budgétaire en y ajoutant un volet de croissance. "Nous avons des positions qui ne sont pas encore convergentes, cela ne vous a pas échappé", a-t-il glissé à la presse lors d'une visite à la Bibliothèque François Mitterrand.

 

 

C’est la dernière image que laissera derrière lui Nicolas Sarkozy et elle est, à ce titre, ultra-travaillée.

Mardi 15 mai, le président sortant va quitter l'Elysée, et François Hollande sera investi président de la République.

On a fouillé les archives, à la recherche des critères clefs qui, à coup sûr, feraient foirer la passation.

 

 

 

 Donne 5 conseils pour ne pas râter sa sortie.

 

 

  

1/ Prendre le risque de sortir à pied.

 

21 mai 1981, il est 10h15, la cérémonie de la passation de pouvoir entre Valéry Giscard d'Estaing et François Mitterrand vient de se terminer. La foule acclame le nouveau président de la République. 

 

Le président sortant, lui, sort à pied de l'Elysée. Iil est copieusement sifflé. Il fait quelques pas rue de l'Elysée pour rejoindre sa voiture est stationnée à l'extérieur du Palais. C'est suffisant pour se faire conspuer par la foule. 

 

Le conseil du Lab : ne pas sortir à pied et laisser son véhicule au plus près du tapis rouge de l'Elysée. 

 

 

2/ Etre seul à la sortie.

 

 

Après une sortie de l'Elysée ratée, Valéry Giscard d'Estaing avait retrouvé une foule de militants rue de Bénouville. Là, il avait été acclamé par quelques centaines de personnes avec des tee-shirts et badges de sa campagne. Image réussie d'un président sortant pas totalement déchu. 

 

Cette pratique, Jean-François Copé l'a déjà expérimenté le 8-Mai. Selon des informations d'Europe 1, le leader de l'UMP avait envoyé un SMS (ce n'était pas spontanné) aux adhérents de l’UMP en Ile-de-France pour les inviter à suivre les cérémonies du 8 mai. Résultat : Nicolas Sarkozy avait pu faire un bain de foule parmi une affluence acquise à sa cause. A refaire ? 

 
Le conseil du Lab : Refaire la même opération. Pour sortir devant une foule qui l'acclame, Nicolas Sarkozy devrait faire venir quelques centaines de militants UMP d'Ile-de-France. 

 

 
3/ Rester seul au Palais jusqu'au bout.
 

De passation de pouvoir officielle, il n'y en a qu'une. Mais pour limiter l'impact de celle-ci sur son image, Nicolas Sarkozy peut organiser des rencontres avec François Hollande pour faire des passations informelles. C'est d'ailleurs ce qu'il se passe. 

 

En 1995, François Mitterrand et Jacques Chirac avait célébré le 8-Mai ensemble. "Une manière de faire une passation de pouvoir en douceur", racontait TF1 à l'époque. 

Le 8 mai dernier, c'est ce qu'a fait Nicolas Sarkozy. Résultat, les images de la passation de pouvoir du 15 mai seront peut être moins brutales. 

 

Le conseil du Lab : Trouver un prétexte d'ici au 20 mai pour revoir François Hollande lors d'une cérémonie, pour dilluer la passation de pouvoir. 

   

4/ Parcourir seul l'interminable tapis rouge.

 

Rien de plus terrible que l'image d'un président marchant seul, dans le silence -et la télévision a horreur du silence-, jusqu'à son véhicule. Sans pousser jusqu'à l'excès de Valéry Giscard d'Estaing qui avait laissé sa voiture à l'extérieur du Palais, Nicolas Sarkozy devrait avoir la Peugeot présidentielle dans la cour. Mais il serait bon pour lui de se faire raccompagner jusqu'à son véhicule par François Hollande, pour éviter la scène du président s'en allant seul, dans un dernier défilé sur l'épais tapis rouge de la cour de l'Elysée.

 

Le conseil du Lab : s'arranger pour se faire accompagner par François Hollande jusqu'à son véhicule. Ainsi, il ne restera aucune image d'un Nicolas Sarkozy partant seul. 

 

   

5/ Ne rien prévoir pour la suite.

 

 

En quittant l'Elysée, le 17 mai 1981, aux alentours de midi, François Mitterrand est allé directement rue de Solférino. Un entorse inédite au protocole, puisqu'il n'était pas habituel, jusque là, que le président sortant retrouve son parti. 

Le socialiste avait justifié ce choix en déclarant que c'était de Solférino qu'il était arrivé. 

 
Le conseil du Lab : Réunir des proches ou des militants pour un dernier événement en tant que président de la République. Pour finir entouré et laisser cette image aux Français. 

 

 

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Qui est Florence ?

Florence Cassez a un appui à la Cour suprême.

 

 

 

AFP

La juge Olga Sanchez, chargée du dossier de Florence Cassez au sein de la Cour suprême du Mexique, a estimé que la Française condamnée à 60 ans de prison pour enlèvements "doit être libérée".

 

"C'est ce que je pense pour beaucoup de raisons, et maintenant que je me consacre au dossier, pour beaucoup plus de raisons", a déclaré jeudi au quotidien "Excelsior", la juge chargée de présenter, dans un délai qu'elle n'a pas précisé, un projet de jugement sur l'affaire Cassez devant les cinq juges de la Première chambre de la Cour suprême.

 

Le 21 mars, cette instance avait rejeté la proposition du juge Arturo Zaldivar d'une "libération immédiate et absolue" de la Française âgé de 37 ans et emprisonnée depuis plus de six ans. Quatre des cinq juges avaient reconnu de graves violations dans la procédure ayant mené à la condamnation de la Française, mais seuls deux d'entre eux, les juges Zaldivar et Sanchez, avaient voté pour la libération, alors qu'il fallait au moins trois voix pour obtenir la majorité.

 

Chargée de présenter un nouveau projet.

 

La juge Olga Sanchez, chargée de présenter un nouveau projet, espère convaincre deux autres juges, José Ramon Cossio et Jorgen Pardo, de libérer la Française. Elle indique qu'elle a suivi, pour élaborer ce projet "une certaine logique juridique et une interprétation constitutionnelle très précise". Elle souligne que le projet d' Arturo Zaldivar était "paradigmatique et extraordinaire".

Dans son texte, le juge Zaldivar avait dénoncé la mise en scène télévisée organisée par la police fédérale le 9 décembre 2005 d'une arrestation "en direct" de la Française et de son ex-compagnon Israel Vallarta dans un ranch proche de Mexico, ainsi que la libération de trois otages.

 

En fait Florence Cassez avait été arrêté à un autre moment -la veille selon elle- et à un autre endroit.

Pour Arturo Zaldivar, cette "mise en scène étrangère à la réalité", a eu "un effet corrupteur" sur l'ensemble de la procédure.

"Beaucoup de gens ont été scandalisés par le terme effet corrupteur de la procédure", a relevé Olga Sanchez.

"C'est une traduction de l'anglais. La Cour (suprême) nord-américaine l'utilise très fréquemment et nous ne l'avions pas encore utilisé ici au Mexique. Mais si, il y a bien eu un effet corrupteur", a-t-elle déclaré.

 

 

 

Encore un espoir... espérons qu'il débouchera sur une bonne nouvelle. 

 

 

 

 

           Passez une belle journée !

 

 

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Qui est Florence ?

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                Florence :

     2346 jours

 

  

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P
<br /> Eh bien ici (en normandie), on a supporté la petite laine toute la journée!<br /> <br /> <br /> Magnifique la glycine, j'adore.<br /> <br /> <br /> Bon week end<br />
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F
<br /> salut frangine je passe te faire un petit coucou bonne soiree bizzz frcis  frcoise<br />
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H
<br /> allez sarko plus que du apssé tu as laissé la France en dette<br /> <br /> <br /> pauvre de toi<br /> <br /> <br /> comment est ta vie pourrie sûrement pour avoir ainsi mener la France<br /> <br /> <br /> bises mon amie très grosse calor chez nous du 38<br /> <br /> <br />  <br />
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R
<br /> Un petit coucou en passant pour te souhaiter un bon week end.Bisous.<br />
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D
<br /> pourvu que le nouveau président aide FLORENCE , cela serai un bon point   bisous  chauds <br />
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M
<br /> Pourvu qu'il ne...revienne jamais, c'est là mon seul souhait!<br /> <br /> <br /> Belle journée, gros bisous de Mireille du Sablon<br />
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