Mardi 13 Novembre 2012. JOURNEE SPEED !

Publié le par Marishka

Mardi 13 Novembre 2012Tullins - 38210 - Me 14 : Brouillards 7°C

                                  Tullins - 38210 - Je 15 : Très nuageux17°C

 

 

 

 

 

 

De la douceur et quelques rayons de soleil après dissipation des brumes matinales.

Ma journée va être speed ! Récupérer Alex et Elisa à la gare à 8 heures et les accompagner sur Voiron. Sens inverse à 16h30.

Entre temps dans la journée j'ai un rendez-vous... il me faut ma voiture.

  

 

 

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      La blague du jour

        Test surdité

 

Deux gars dans la soixantaine parlent du vieillissement et l'un dit à l'autre :

- Le pire, c'est pour nos femmes ; elles refusent d'admettre qu'elles vieillissent et essaient toujours de cacher leurs petits bobos.

- Tu as bien raison lui dit l'autre mais j'ai trouvé un maudit bon truc pour les prendre au jeu : ainsi, si tu veux savoir si ta femme commence à être sourde, places-toi à 20 pieds d'elle et poses-lui une question puis, quand tu verras qu'elle ne répond pas, avances-toi à 15 pieds, puis à 10, puis à 5 et là, elle va devoir se rendre à l'évidence qu'elle est sourde.

 

Le bonhomme trouve l'idée bonne et en entrant chez lui, il est à 20 pieds de sa femme et lui demande d'une voix forte :

-Qu'est-ce qu'on mange pour souper ?

Pas de réponse !

Il s'approche alors à 15 pieds et lui demande encore : 

-Qu'est-ce qu'on mange pour souper ?

Pas de réponse !

Il s'approche encore, à 10 pieds, et lui redemande :

- Qu'est-ce qu'on mange pour souper ?

Pas de réponse !

Le gars n'en revient pas ; il s'approche alors à 5 pieds et hurle :

-Qu'est-ce qu'on mange pour souper ?

Sa femme se retourne et lui dit :

-Pour la quatrième fois, sacrement .................. du poulet !

 

 

 

 

                                  image Tournesol sourd

 

 

 

Le plus sourd n'est pas celui qu'on croit ! 

 

 

 

 



 

 

 

 

 

 

 

 

Affaire Mohamed Merah : enquête ouverte pour "apologie du terrorisme" contre sa soeur Souad.

 

 

 

 

 

 

Une enquête pour "apologie du terrorisme" a été ouverte par le parquet de Paris à l’encontre de Souad Merah après les propos tenus par la sœur du terroriste dans une enquête diffusée sur M6 dimanche soir, a indiqué lundi 12 novembre une source judiciaire.

Confiée à la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP) de la police judiciaire parisienne, cette enquête a pour but de "vérifier les conditions dans lesquelles ont été tenus les propos susceptibles de constituer le délit d'apologie du terrorisme", a précisé cette source judiciaire à l'AFP.

Peu après, le ministre de l'Intérieur Manuel Valls a condamné "avec la plus grande fermeté" les propos de Souad Merah. "Bien que tenues dans le cadre d'une conversation privée, ces paroles ne peuvent qu’être perçues comme une apologie du terrorisme évoquant une 'apologie du terrorisme et de l'antisémitisme'", a-t-il indiqué.

Les propos de Souad Merah "sont une insulte à la mémoire des victimes de Mohamed Merah", a dit le ministre, estiment que la jeune femme "expriment et propagent une idéologie primaire et violente".

"Tous les moyens (...) seront mis en oeuvre pour que les auteurs de ces déviances répondent de leurs actes", indique-t-il encore.

 

Demandes de poursuites pour "témoignage mensonger"

 

Plus tôt dans la journée, les avocats des familles d'Iman Ibn Ziaten, Mohamed Legouad et Abel Chennouf, trois militaires abattus par Mohamed Merah, ont demandé lundi 12 novembre que des poursuites soient engagées pour "témoignage mensonger" à l'encontre de Souad Merah, la soeur du tueur au scooter.

 

Filmée en caméra cachée dans un reportage diffusé dimanche soir par M6, dont Le Huffington Post vous avait dévoilé les grandes lignes, Souad Mérah évoque les voyages de Mohamed en 2010 et 2011.

Face à son frère aîné, Abdelghani, elle reconnait avoir dit aux enquêteurs qu'il partait en Algérie alors qu'elle savait qu'il partait vers d'autres destinations.

 

"Il apparaît que Souad a délibérément menti aux enquêteurs sur les pays que ce dernier aurait visités", écrit Me Olivier Morice, nouvel avocat de la famille Legouad dans sa demande d'acte déposée lundi auprès du juge et consultée par l'AFP.

Les avocates des famille Ibn Ziaten et Chennouf, ont annoncé le dépôt d'une demande similaire dans la journée.

 

 

 

 

 

 

 

 

Novembre 1971. Il envoie sa mère, son épouse et ses trois gosses au paradis avant de refaire sa vie.

 

 

Frédéric Lewino et Gwendoline Dos Santos.

 

 

À 46 ans, John Emil List sent que sa vie s'enlise dans le New Jersey. Sa mère, qu'il loge, passe son temps à bouffer et à prier. Son épouse souffrant de syphilis commence à dérailler, ses mômes ne le respectent plus, ses créanciers s'impatientent. Pire encore, la banque qui l'emploie comme comptable depuis des années l'a viré voilà quelques mois. Bref, sa vie tourne au cauchemar. Surtout que, n'ayant pas osé avouer son licenciement à la maison, chaque matin il fait semblant de se rendre à son bureau, traînant en ville. Il s'endette, bientôt il lui faudra vendre son immense maison victorienne, certes délabrée mais qu'il adore. Sa famille sera mise à la rue. La déchéance, la honte ! Il n'a donc pas d'autre choix que de zigouiller sa mère, son épouse et ses trois gosses pour les expédier direct au paradis où Dieu prendra soin d'eux.

Il décide de passer à l'action le 9 novembre. Après le départ de ses enfants pour l'école, John List s'empare des deux pistolets qu'il a planqués dans sa voiture, puis revient dans la cuisine où sa chère épouse boit une tasse de café assise à la table, lui tournant le dos. Ah, sa brave Helen avec qui il vient de partager dix-neuf ans de sa vie. Il l'aime encore. Mais point de sentimentalité. Paf ! Il lui loge une balle dans la nuque. Elle s'écroule, morte sur le coup. Elle, si à cheval sur la propreté, arrose de son sang la table et le sol. Dommage qu'elle ne soit plus en état de nettoyer ses dégâts. Déçu, John se détourne pour monter au troisième étage, sous les toits, où sa mère vit dans un petit appartement. La vieille femme de 84 ans est en train de préparer son petit déjeuner. Elle se tourne vers lui. "C'est quoi ce bruit ?" Au lieu de répondre comme un fils bien élevé, il lève son bras et lui loge avec amour une balle au-dessus de l'oeil gauche. Le temps de s'effondrer, la vieille dame est déjà réceptionnée par saint Pierre. Pour un homme, la mort d'une mère est toujours douloureuse.

 

Comment les tuer en douceur tous les deux ensemble ?

 

Aussi John ne s'attarde pas et descend immédiatement dans la cave pour y chercher des sacs de couchage. Il en glisse un sous le corps de son épouse pour la traîner plus commodément dans la salle de bal. Il revient dans la cuisine, nettoie le sang pour que les enfants ne s'affolent pas lorsqu'ils reviendront de l'école. Puis il se rend au bureau de poste pour demander qu'on conserve le courrier de la famille durant plusieurs semaines pour cause d'absence et avertit les livreurs de lait et de journaux de suspendre leur service. C'est qu'il pense à tout, le petit homme. Il n'oublie surtout pas de faire un saut à la banque encaisser des obligations de sa mère. De retour à la maison, il téléphone à une voisine pour la prévenir de ne plus passer prendre ses fils le matin afin de les accompagner à l'école avec le sien. Comme excuse, il explique qu'ils doivent tous se rendre en Caroline du Nord pour prendre soin de la mère de son épouse, très âgée et très malade. John List passe encore plusieurs appels pour justifier leur absence. Toute cette agitation lui ayant donné faim, il se met à la même table où il a abattu son épouse pour casser la croûte.

Le téléphone se met à sonner : c'est sa fille Patricia, 16 ans, qui appelle de l'école pour dire qu'elle se sent malade. Elle lui demande de passer la chercher. Brave fille qui lui tire une épine du pied. Normalement, elle et son frère Fred, 13 ans, sont censés rentrer à la même heure de l'école. Comment les tuer en douceur tous les deux ensemble ?

List ramène donc sa fille à la maison et abrège ses souffrances terrestres en lui tirant une balle dans la mâchoire. Puis il attend le retour de Fred qu'il abat aussitôt. Reste John, 15 ans, son préféré, qui, cet après-midi-là, participe une partie de football américain. List va le voir et le ramène ensuite à la maison comme si de rien n'était. Il sort son flingue, mais ce petit imbécile s'en aperçoit et tente de se défendre, ne comprenant pas que son dad ne lui veut que du bien. Enfin, le voilà allongé sur le plancher. Soulagement de List, qui sait désormais sa petite famille réunie au paradis. C'est qu'il aimerait bien les rejoindre, mais Dieu n'interdit-il pas le suicide ? Bon croyant, il est donc condamné à poursuivre sa misérable vie terrestre avec l'argent de maman.

 

Musique classique

 

List rassemble les cadavres de sa petite famille dans la salle de bal de sa vieille maison victorienne, les déposant chacun sur un sac de couchage pour qu'ils n'attrapent pas froid. Il n'y a que sa mère qu'il laisse dans le grenier, elle est trop lourde à traîner. Puis il s'installe à une table pour écrire une lettre à son pasteur où il lui explique ses motivations : la perte de son emploi, bla-bla, l'incapacité d'assurer le bonheur de sa famille, bla-bla, le séjour au paradis, bla-bla, la fin paisible des membres de sa famille, bla-bla, les années 70 marquées par le péché, bla-bla, sa fille qui veut, ô horreur, devenir actrice... Il écrit quatre autres lettres, dont une à son ex-employeur, lui expliquant comment gagner de nouveaux clients. Méticuleux jusqu'au bout, il nettoie les dernières traces de sang et rassemble des livres empruntés à un voisin qu'il laisse en évidence.

Après avoir nourri le poisson rouge et dîné en solitaire, il téléphone à la professeur de théâtre de sa fille pour lui dire qu'elle sera absente plusieurs semaines, puis monte se coucher dans sa chambre. Le lendemain matin, avant de quitter la maison, il en fait le tour pour récupérer toutes les photos de famille, déchirant systématiquement son visage pour que la police ne puisse pas l'identifier, baisse le thermostat, allume ensuite un magnétophone qui diffuse en boucle de la musique classique. Enfin, il allume toutes les lumières de la maison avant de partir au volant de sa voiture pour l'aéroport Kennedy de New York. Il l'abandonne sur le parking pour faire croire qu'il a emprunté un vol, mais rentre en ville en bus et... disparaît.

 

Un mois plus tard, le directeur de l'école de théâtre de Patricia commence à s'inquiéter de la longue absence de Patricia, surtout qu'elle lui avait confié trouver bizarre l'attitude de son père au cours des derniers mois. Le 7 décembre, il décide de lui rendre visite en compagnie de sa professeur. Ils voient les lumières allumées de la maison, frappent à la porte. Personne ne répond. Ils tournent autour de la bâtisse victorienne. Ce manège intrigue un voisin, qui, les prenant pour des cambrioleurs, appelle la police. Les deux professeurs s'expliquent. Les policiers décident de briser une fenêtre. Une terrible odeur les prend à la gorge, leur faisant comprendre qu'un drame s'est joué là. Une musique les attire vers la salle de bal. Ils traversent la cuisine dont le sol est jonché de vêtements imbibés de sang séché. Ils découvrent les corps allongés, le visage recouvert d'un morceau de tissu. Poursuivant leur exploration, ils tombent sur le corps de la mère dans le grenier. Enfin, ils mettent la main sur un paquet de lettres adressées "au découvreur".

 

Chasse à l'homme

 

Une immense chasse à l'homme est lancée. La voiture de List est retrouvée à l'aéroport Kennedy de New York, mais son nom ne figure sur aucune liste de passagers. Durant des semaines, des mois, les policiers enquêtent, fouillent, interrogent des centaines de personnes. Sa photo est publiée par tous les journaux, apparaît sur toute les chaînes de télé. Rien. List s'est littéralement évaporé. Après quelques mois, la police met de côté le dossier. Les années passent. En 1989, dix-huit ans après le crime, les producteurs de l'émission America's Most Wanted cherchent une affaire bien vicieuse pour relancer l'audience. Un meurtrier qui a assassiné toute sa famille, c'est exactement ce qui leur faut. L'émission diffusée le 21 mai 1989 montre aux millions de téléspectateurs la tête de John List telle qu'elle devrait être maintenant, avec près de vingt ans de plus que lors de sa disparition. Sa vue provoque l'émoi parmi un groupe d'amis du Colorado. Cet homme, c'est le portrait craché de leur ami comptable Robert P. Clark, qui vient de déménager en Virginie avec sa nouvelle épouse. La plupart en font un sujet de plaisanterie, mais l'un d'eux appelle tout de même la police pour leur signaler la troublante ressemblance.

Le 1er juin, des policiers frappent à la porte de Clark, qui nie formellement être List. Quand on lui trouve les mêmes empreintes digitales, il continue à nier. Ce qui ne l'empêche pas d'être arrêté et inculpé. Ce n'est qu'en février 1990 qu'il reconnaît enfin être effectivement List. Il explique qu'après avoir abandonné sa voiture sur l'aéroport de New York, il a pris un bus pour Denver, dans le Colorado, où il a donc recommencé sa vie sous le nom de Clark.

En 1985, il épouse une veuve de Virginie chez qui il déménage. Il est condamné à la prison à vie pour chacun des cinq meurtres. Trente ans après son crime, interviewé dans sa prison au sujet de sa première famille, il déclare : "J'ai le sentiment que, quand nous nous rencontrerons au paradis, nous ne nous préoccuperons plus des affaires terrestres. Soit ils m'auront pardonné, soit ils n'auront pas réalisé, vous savez, ce qui est arrivé." "Je suis certain que si nous nous reconnaissons l'un l'autre, nous aurons du plaisir à être ensemble, comme autrefois, quand l'époque était meilleure." List meurt en 2008, à l'âge de 82 ans, en prison. Pas sûr que sa vieille mère, son épouse et ses trois gosses l'aient accueilli à bras ouverts au paradis.


  9 novembre 1971. Il envoie sa mère, son épouse et ses trois gosses au paradis avant de refaire sa vie.

 

 

 

 

 

Je vous souhaite une bonne journée !

 

 

 

 

 

 

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Qui est Florence ?

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  Florence :   

                   2532 jours

   

Commenter cet article

S
<br /> bonsoir,<br /> <br /> <br /> Il n'existe pas de crime parfait ! Le criminel est arrêté tôt ou tard !<br /> <br /> <br /> Il est plus que juste qu'il y ait une enquête sur s. mérah, si jamais elle est arrêtée, elle aura tout le loisir de méditer sur les agissements de son frère et sur ses paroles.  <br /> <br /> <br /> Je me rappelle que l'Algérie avait refusé que ce fou meurtrier soit enterré sur le sol algérien !<br /> <br /> <br /> Tous les pays du monde devraient s'unir pour combattre les criminels quels qu'ils soient, quelles que soient leurs religions !<br /> <br /> <br /> Tout être humain a le droit de vivre en paix !<br /> <br /> <br /> bonne soirée<br />
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F
<br /> bonsoir frangine bonne soiree bisous frcis  frcoise<br />
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F
<br /> Quelle horreur cette histoire ! heureusement qu'il a été puni pour son forfait  !<br /> <br /> <br /> la blague est très drôle !<br /> <br /> <br /> Pas facile la vie de mamie:on court toujours !!<br /> <br /> <br /> CE serait normal que la soeur de Merah soit punie!!<br /> <br /> <br /> Bisous<br />
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M
<br /> Quelle histoire, j'en frémis encore...et dire qu'elle est réelle!<br /> <br /> <br /> Bon mardi, bisous de Mireille du Sablon<br />
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