Mardi 27 Juin 2017
Mardi 27 juin 2017
Météo : bien ensoleillé
Matin : 18°C
Après-midi : 32°C
Des orages qui n’ont guère rafraîchi l’atmosphère... et aujourd'hui ça remonte à 32°C... J'ai pourtant mieux dormi : jusqu'à 6h30 !!!! si ça n'avait pas été mon mal de dos qui m'éjecte de mon lit, je serais bien restée encore dans les bras de Morphée....
CALIFORNIE : Il enterre son fils, et le retrouve vivant onze jours plus tard.
En mai dernier, un octogénaire américain a enterré en Californie celui qu'il croyait être son fils, identifié à partir de ses empreintes digitales. Sauf que son véritable enfant était bien vivant.
C'est un retournement de situation dont cet Américain se serait bien passé. En mai dernier, un habitant du comté d'Orange en Californie (Etats-Unis), a enterré son fils Frank, 57 ans... qui est réapparu vivant onze jours plus tard, rapporte le Washington Post.
Le père, âgé de 82 ans, avait été appelé par les autorités qui lui ont annoncé qu'un cadavre correspondant au profil de son fils avait été retrouvé.
Les empreintes digitales correspondaient
Le fils de l'octogénaire atteint d'une maladie mentale, est également SDF. L’homme a été retrouvé mort près d'une boutique de téléphonie mobile.
Mêmes caractéristiques physiques, même couleur des yeux, empreintes digitales à l'appui : aucun doute n'était possible.
La famille de Frank a donc organisé ses funérailles. Elle n'a pu découvrir le corps que quelques jours avant la cérémonie catholique. Bien qu'elle ne l'ait pas reconnu sur le coup, la famille a tout de même dépensé 20 000 dollars pour l'enterrement.
"Salut Papa !"
Mais onze jours à peine après les funérailles, le père de famille a reçu un appel d'un ami... lui annonçant que son fils est vivant ! Et de fait, il a passé le combiné à ce dernier, qui s'est adressé à son père : "Salut Papa !".
Après cette mésaventure, la famille a déposé plainte contre le bureau de l'enquêteur du Comté pour négligence. Une enquête a été ouverte.
Les enquêteurs avaient été trop négligents
Et pour cause : "Frank" a été identifié non pas à partir de ses empreintes digitales, mais d'une vieille photographie de permis de conduire qui lui ressemblait. Une grosse erreur...
INDRE : En jetant son mégot, elle met le feu à son camion de déménagement.
En jetant sa cigarette par la fenêtre du camion de déménagement dimanche dans l'Indre, une femme a mis feu à ses affaires personnelles et à celles de son compagnon.
Elle aura probablement davantage de scrupules la prochaine fois.
Dimanche, une femme a jeté son mégot par la fenêtre du camion-benne conduit par son compagnon, sur la nationale entre Issoudun et Châteauroux (Indre). Sauf que la cigarette a atterri dans le camion, où elle a mis feu aux cartons qui s'y trouvaient, rapporte France Bleu.
En l'absence de bâche, la cargaison a pris feu immédiatement. Manque de chance, il s'agissait de toutes les affaires personnelles du couple, qui déménageait.
Les affaires du couple étalées sur une quarantaine de mètres sur la route
Pour éviter que la situation ne s'empire, le conducteur a dû s'arrêter en plein milieu de la nationale et déverser le contenu de la benne sur la chaussée.
Les affaires du couple se sont donc retrouvées dispersées sur une quarantaine de mètres. La route, elle, a été bloquée pendant deux heures dimanche avant que le trafic ne revienne à la normale.
Oups !
MODE : Un cabas Balenciaga à 1 000 euros ressemble... à un sac en papier.
La marque de luxe Balenciaga fait le buzz avec son nouvel accessoire, le "Shopping bag", qui ressemble terriblement... à un sac en papier.
Après les claquettes-chaussettes, les sacs en papier ? La marque de luxe Balenciaga fait le buzz sur le web avec son nouveau sac, le cabas "Shopping bag", qui coûte près de 1 000 euros et ressemble... à un bête sac en papier, rapporte Le Huffington Post.
La création, mise en vente la semaine dernière, a beaucoup amusé les réseaux sociaux.
À noter que le prix du sac se justifie (en partie) parce qu'il n'est pas en craft : l'accessoire est en cuir de veau, fabriqué en Italie.
Vendu 995 euros dans le célèbre magasin design parisien Colette, le sac Balenciaga est déjà en rupture de stock. Les goûts et les couleurs...
Je vais sortir la mode des sacs poubelle !
